Zeitenwanderung


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Schüler im Profil B: Jahrgang 12
LK Französisch/ Gk Spanisch/ Gk Geschichte:


Finnja Baeßler
Leyla Bektas
Marius Biesterfeld
Magdalena Brenskott
Arnaud Chevrollier
Anna Lisa Ellereit
Golsa Enayatpour
Victoria Goetz
Nina von Haken
Kevin Heinken
Elena Kijewski
Lisa Klein
Alina Kolesnichenko
Anastasia Korotcenko
Antonia Lühmann
Christoph Mietzner
Sabine Pietruske
Süleyman Sandikci
Lisa Schaller
Tina Schreiber
Amélie Streubel
Janika Taschies
Greta Weigeldt


Parler d’un tableau vu au musée de Céret


Finnja Baeßler

La Joie de Derain 1905; aquarelle et crayon sur papier)

L’image « La joie » dans les couleurs complémentaires bleu/ orange et vert/ rouge et avec des touches de noir montre cinq personnes.
Une femme au centre avec de longs cheveux qui bougent au vent. Toutes personnes sont nues et les formes des corps sont très simples. La femme au centre est la seule personne avec des cheveux longs.
La personne à droite de cette femme peut être un homme, les autres sont aussi des femmes.
Deux femmes, l’une à droite, l’autre à gauche se trouvent dans les herbes et dorment peut-être. Les autres personnes bougent et dansent.
Au fond, on voit des grands nuages blancs et un ciel dans un bleu très clair. Une montagne en vert se détache du ciel.
Il y a en plus deux arbres dans l’image : un arbre à droite qui se sépare en deux parties. La partie en haut est en noir et on voit des feuilles, la partie en bas est rouge et complètement nue.
Les herbes par terre sont peintes en touches verticales ( en vert) et horizontales ( en rouge, en gris).
On peut voir les mouvements décrivent la joie, le sujet de l’image, et ça c’est la raison pourquoi cette image me plaît.

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Leyla Bektas

L’analyse de la peinture : verre et journal », an Gris, 1916

Le cadre de l’image est déterminé par des superficies noires, parfois interrompues par des lignes blanches. Les objets de l’image se trouvent sur une table marron. C’est un verre et un journal qui surprennent, mais ils ne sont pas le centre de l’image. Les couleurs essentielles sont le violet, le bleu, le vert, le noir, le marron, le blanc et le gris.
Cette peinture est une peinture classiquement cubiste : Les cubes (en couleurs différentes) déterminent toute l’image. Les coins des cubes sont très exacts et parfois ils sont bordés par des contours noirs. Juan Gris a utilisé beaucoup de caractéristiques cubistes. Il n’y a pas d’objets naturels. L’image montre des choses simples comme la table et les choses qui s’y trouvent. Le peintre avait cette vue peut-être dans un café ou un casino ou même à la maison. C’est quelque chose que tout le monde connaît mais c’est une vue extravagante, qui n’apparente pas la nôtre.
L’image cubiste joue avec cette vue « normale ». Comme nous préférons voir et regarder les formes fermées et séparées (=une simplification) le cubiste mélange ces formes et les contours. Ca peut nous troubler. Il semble que le cubiste s’imagine des choses mais dans le fond le cubisme combine des différents points de vue dans une image.
Les formes jouent un rôle très important dans cette peinture, mais beaucoup plus importantes sont les couleurs. Juan Gris joue avec les couleurs. Elles harmonisent entre elles. Il joue aussi avec la lumière. Le verre, par exemple, est d’un violet, vert et bleu. Ceci pourrait signifier les différents moments de la journée. Alors il y a du temps inclus dans seulement une image.
Il n’y a pas de centre dans l’image. Le journal n’est pas assez net et se mélange avec d’autres cubes. Le verre n’est pas peint dans des cubes, mais pointé. Alors ces deux choses ne s’avancent pas assez pour être le centre (malgré le titre). Donc on peut dire que l’image en tout est le centre, l’objet primaire.
Il y a des ombres, mais il n’y a pas de lumière qui en est la cause. Cette image ressemble un peu à un collage, un mélange de différents types d’objets, de vues très différentes.
Juan Gris dit qu’il composait les choses PAR des couleurs. Ils deviennent les objets par leur arrangement.

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Marius Biesterfeld

Bildbeschreibung: Matisse, Collioure 1905, jeune femme à l´ombrelle (& Marius)

Dans la peinture d´Henri Matisse „Collioure, jeune femme à l´ombrelle“, on la voit debout au bord du littoral. Il fait beau à cause des couleurs gaies et des voiliers. Le littoral s´étale à côté droite de la peinture.
La jeune femme tient une ombrelle. Elle la tient devant elle ce qui donne l´air triste à de la femme.
Comme il y a beaucoup de touches et d´aplats pas colorés, pas de détail (le visage par exemple), des contours (les vagues et les plis de la jupe), des contrastes beaux (couleurs complémentaires), c´est une oeuvre typique fauviste. Les couleurs gaies font un contraste génial avec l´attitude de la femme. Matisse a créé une oeuvre formidable qui semble être harmonieux à première vue, mais après plusieurs, on remarque que l´ambiance de la jeune femme ne va pas avec l´entourage.

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Magdalena Brenskott

Derain : Les arbres 1905-1906

« Les arbres » est une peinture d’un paysage. Au premier plan se trouvent des arbres aux couleurs différentes, par exemple les couleurs complémentaires bleues et orange, vertes et rouges.Toutes les feuilles tombées couvrent la terre. Derrière, il y a plusieurs arbres avec des feuilles vertes et orange. À l’arrière-plan, la montagne a les couleurs bleues et roses. Le ciel est d’un jaune clair.L’artiste montre le printemps, l’été, l’automne et l’hiver dans sa peinture.Les formes sont simples, c’est très typique pour le Fauvisme.
À notre avis Derain a utilisé beaucoup de couleurs fortes pour présenter le beau paysage en détail.

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Arnaud Chevrollier

Auguste Herbin: Les trois arbres

J’ai choisi ne peinture cubiste d’Auguste Herbin qui s’appelle les trois arbres.
On voit trois troncs d’arbres peints réellement en marron et un peu de rouge.
À côté des arbres des toiles sont placés.
Peinte en bleu fort à gauche c’est la mer. A droite il y a des fleuves. Placé en haut de la peinture il y a une montagne en vert.
À côté des trois arbres sont placés des vignobles.
Près du centre, on remarque le littoral. Auguste Herbin a peint des champs ce qu’il a vu d’un point de vue sur les montagnes par exemple aux pieds des arbres à gauche. À leur droite il y a une plage jaune. Auguste Herbin avait beaucoup de points de vues différents et il a peint les images dans sa tête sur la toile.
Mais les images sur la toile ne sont pas pareilles aux images réelles.
La peinture est très vivante et forte.
Les couleurs souvent utilisées sont le vert, le rouge et le bleu.

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Anna Lisa Ellereit

„Dame à la terrasse“
Henri Matisse été 1906


On voit une dame assise sur une chaise rose à une terrasse rose et rouge. La femme a levé le bras pour protéger son visage du soleil brillant en regardant la mer qui est bordée par des montagnes vertes.
Elle regarde peut-être les bateaux avec leurs grandes voiles vertes ou le petit village de l’autre côté de la crique.
Les couleurs dominantes du tableau sont des couleurs complémentaires vertes (parfois plus jaune ou bleu) et rouge (parfois plus rose ou violet). Les formes des grands aplats comme la terrasse (rouge), la veste de la dame (verte) et les montagnes (vertes) sont entourées par des lignes fortes de la couleur complémentaire.
Dans la mer, toutes les couleurs se rencontrent dans un grand mélange et se reflètent. Au ciel, qui est bleu et rose, et à la mer, Matisse laisse des grandes tâches blanches sur la toile. Les formes sur la toile sont très simplifiées, mais les touches de couleur, par exemple des points rouges sur la jupe orange de la dame et les voiles des bateaux sont très expressives. Ils donnent au tableau du mouvement et de l’action.

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Golsa Enayatpour

L’Analyse de l’Image „Les toits de Collioure » de Matisse

Quand on voit pour la première fois l’image, ce sont surtout les couleurs fortes et vives qui sortent du tableau. Il s’y trouve des maisons, un mur, la mer, les montagnes et des collines. Les couleurs complémentaires sont mises à côté des couleurs principales comme pour le mur du rouge et du vert sont mélangés. Ça arrive plusieurs fois que des couleurs d’une partie de l’image sont peintes sur une autre plus loin. On va moins de contours, les figures sont simplifiées. Le tableau a l’air coupé ce qu’on voit surtout à la partie des montagnes : On ne voit pas leurs sommets. On a l’impression dans le tableau et l’on y trouve aussi des taches blanches qui sont restées sur la toile. Des perspectives ou des sombres sont presque évités. Pour résumer, c’est une image typique pour l’époque du fauvisme.

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Nina von Haken

Matisse – Collioure, rue de soleil
1905 huile sur toile


La peinture «Collioure, rue de soleil» d’Henry Matisse est une oeuvre typiquement fauviste.
Les maisons à droite ont des couleurs complémentaires comme le vert, le rouge, le bleu, le blanc; le vert est probablement un arbre ou un jardin.
À côté de la maison se trouve un chemin bleu, la rue de soleil. Le bleu devient violet à l’arrière-plan. Ici, on trouve des arbres et des champs verts. Je crois que la peinture est peinte en été parce que les champs et les arbres sont verts et ont des feuilles.
Sur les champs, on peut reconnaître les contours de la montagne. Les lignes sont violettes. Ça peut être la lumière du soleil au matin ou au soir.
À gauche de la peinture se trouve un mur, mais on voit seulement les contours. Le mur est violet, orange et jaune; toutes les couleurs du soleil.
On peut dire que les couleurs de la toile sont très vives, pures et lumineuses. Ce qui le fait un peu sombre, ce sont les taches restées grises sur la toile. Mais c’est le Fauvisme.
Moi, j’aime bien l’atmosphère et l’ambiance de la peinture. Bien qu’il y ait beaucoup de mouvement, la peinture a l’air très calme. J’ai choisi cette oeuvre parce que Matisse sait bien exprimer l’ambiance du paysage. En plus on peut beaucoup interpréter. Les contours et les formes ne sont pas claires et on peut imaginer comment la rue de soleil se présente en réalité.

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Kevin Heinken

André Derain – Collioure, le village et la mer

André Derain était un peintre français et aussi un représentant très connu du fauvisme. Le tableau « Collioure, le village et la mer » montre Collioure, une petite ville sur la côte méditerranée, où Derain vivait et peignait pendant deux ans.
Le point de vue de Derain est au-dessus de la ville.
On peut voir quelques maisons situées le long d’une petite rue qui descend vers la mer.
La mer se trouve entre la ville et la montagne de l’autre côté. Les couleurs des maisons et des monts sont lumineuses et la couleur de la mer est très sombre, donc il y a des contrastes.
En partie Derain a peint des lignes qui entourent les formes des maisons par exemple.
Dans quelques parties de la peinture, on peut voir aussi des taches blanches sur la toile qui sont typiques pour le fauvisme.
Ce tableau me plaît beaucoup en raison des couleurs harmoniques et aussi du point de vue. Une autre cause est que Collioure me plaît de toute façon.

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Elena Kijewski

Dans le tableau „Trois arbres“ d’Auguste Herbin on peut voir quelques éléments qui ressemblent à la réalité. Les éléments les plus clairs sont les troncs, les autres parties de l’œuvre semblent moins réalistes, mais si on interprète le tableau, on peut découvrir aussi d’autres formes réalistes, comme une rivière ou des toits. Auguste Herbin a un style qui est très caractéristique pour les cubistes, il utilise beaucoup de couleurs de nuances différentes et de touches fortes. Il y a aussi des formes abstraites et simples qui sont souvent rectangulaires. Ce qui est aussi important, c’est que « Trois arbres » représentent la vue subjective d’Auguste Herbin, il ne veut pas montrer la réalité, mais les sentiments qu’il avait quand il a regardé le paysage.
« Trois arbres » est un des tableaux cubistes que j’aime, parce que les couleurs sont très lumineuses et impressionnantes, mais je trouve que les autres œuvres des cubistes sont peintes d’une manière trop simple et rectangulaire, j’aime plus les images qui ont plus de détails et qui sont plus réalistes.

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Lisa Klein

Auguste Herbin – „Les trois arbres“
(peint en 1913, l’huile sur toile)


Sur le tableau d’Auguste Herbin – « Les trois arbres », on voit trois troncs marron et autour d’eux il y a des couleurs et formes rigoureuses qui forment les feuilles vertes des arbres, quelques parties vignoble de couleur vert-marron.
Au centre de l’œuvre, on trouve un grand toit rouge et en haute des triangles qui peuvent montrer des montagnes – peut-être le Canigou. Quand on compare « Les trois arbres » et l’autre tableau d’Herbin, « Paysage de Céret », on voit beaucoup de ressemblances entre eux. Les deux sont des expressions particulières du cubisme avec des couleurs fortes et des contrastes et des formes irréelles de son imagination. Si je me mets en son point de vue, on ne retrouvera probablement pas de détails de l’œuvre parce qu’il n’a peint ce qu’il a vu dans son imagination. Il est typique pour le cubisme que les peintres montrent sur la toile ce qu’ils voient dans leurs têtes, les formes et les couleurs peuvent être différentes de la réalité. Je pense qu’Herbin a peint ce tableau près de Céret, comme l’œuvre « Paysage de Céret ».
Les objets – les arbres, un fleuve, des champs – sont les mêmes éléments, les couleurs utilisées sont aussi pareilles.
J’ai pris ce tableau à analyser parce qu’il m’impressionne beaucoup, on voit ses couleurs de loin et on doit essayer d’interpréter la mélange des formes.
J’aimerais savoir où il a peint cette œuvre et de quel point de vue.

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Alina Kolesnichenko

Derain « Bâteau à Collioure » 1905 ( huile sur toile)

Sur le paysage d’André Derain, on voit le port de Collioure avec les bâteaux et les gens sur la promenade. La mer prend la plus grande place sur le tableau.
André Derain travaille avec la technique des tâches. Il n`y a presque pas de lignes. Il a pris des couleurs très sombres, alors on ne peut pas dire si c`est le matin où le soir.
On remarque qu’il n`y a pas de point focussé sur le tableau ce qui le rend très speciale. Les formes sont simples et il n`y a pas de détails. Il faut regarder deux fois le tableau pour le comprendre. La ligne n`entoure pas les formes ce qui est très typique pour Derain.
Mon opinion : Je ne favorise pas le fauvisme, mais je suis très touchée par ce tableau. Avec des formes et des couleurs simples, il a réussi à peindre un chef-d’œuvre.

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Anastasia Korotcenko

« Les voiliers » par André Derain

Du feu, de la vie, du fauve ! C’est ce qu’André Derain a créé avec son tableau « les voiliers » .Un vrai feu d'artifice qui saute aux yeux et qui n’arrête pas. Ce sont les ombinaions des couleurs qui font vivre la peinture;
Un bleu profond à côté d’un orange vif… artout on trouve des couleurs différentes qui se trouvent sur le tableau comme des morceaux. Une pièce bleue à gauche qui a l'air d'un poing pourrait signifier la force de la mer, mais en vérité ce sont des gens qui défont la voile. Les détails sont extrêmement simplifiés- une vraie peinture fauviste!

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Antonia Lühmann

Henri Matisse – Les toits de Collioure, 1905
Huile sur toile


Le tableau « Les toits de Collioure » d’Henri Matisse montre des toits et le clocher de Collioure. Ce tableau exprime le mot catalan pour Collioure : Cotlliure.
La côte, c’est la couleur et lliure veut dire lumière.
Les couleurs dans ce tableau sont très fortes et lumineuses. Mais ils ne sont pas naturalistes, la montagne est rose avec des touches vertes, la mer est aussi verte et bleue, des couleurs fraîches. Le clocher est rose et les toits sont de couleurs différentes, mais justement des couleurs chaudes comme le jaune, l’orange, le rose et le rouge. Les toits et la mer sont peints avec des touches, mais les maisons et la montagne sont aussi peintes avec des aplats colorés.
Toutes les couleurs sont pures et très fortes. Spécialement dans la mer, ce qui donnent au tableau beaucoup de mouvement. Le mouvement provient aussi des touches.
Matisse a aussi utilisé des couleurs complémentaires, qui donnent au tableau une expression vivante et forte.
Les formes sont très simplifiées et l’on peut encore voir les contours du crayon, qui entourent les formes. Les contours aussi aident les formes de se détacher.

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Christoph Mietzner

André Derain: Bateaux de pêche

C’est une peinture fauviste d’André Derain qui est très connu pour son style de fauviste.
La plupart de cette aquarelle est peinte avec des touches, qui symbolisent pour moi le mouvement. Les montagnes sont toujours à la même place, elles ont l’air calme et apaisant. La peinture est subdivisée dans trois parties, les bateaux dans le port, l’eau et les Pyrénées. André Derain utilise des couleurs complémentaires et ils donnent une identification à cette peinture. Et ce qui est typique pour le Fauvisme ce sont les taches. Le point de vue est au-dessus du port et se trouve peut-être sur une petite montagne.

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Sabine Pietruske

Leopold Survage: Femme à la fenêtre (1931)

On voit dans ce tableau trois fois une femme:
1. toute la femme à droite
2. le visage à gauche dans un cadre
3. la main en bas
Le paysage avec le sable, la mer et la ville est divisé. Il semble qu'elle vient de la ville/ de la mer avec un bol sur la tête. Son visage est peint très précisément sauf la forme du corps. Les contours de la robe se joignent aux contours de la ville et si on regarde jusqu'à là, on voit une autre figure, qui est un peu caché.
Peut- être, cette figure est la raison pourquoi la femme ne sourit pas. Derrière la femme, à gauche vers les bras, il y a des éclaircies.
Il est typique pour le cubisme de diviser le tableau en plusieurs plans, comme p. ex. la mer, la ville, le sable et bien sûr la femme.
Les couleurs ne sont pas vraiment très cubistes, peut- être c'est pourquoi j'aime ce tableau beaucoup. Il est un peu abstrait- spécialement avec la feuille dans la main, ce que je ne comprends pas- mais ce qui est quand- même très beau.

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Tina Schreiber

Auguste Herbin: Les trois arbres

Le tableau « Les trois arbres » d’Auguste Herbin est très caractéristique pour le style cubiste, qui est né au début du 20ième siècle.
Cette œuvre est peinte vue des Pyrénées, d’où Auguste Herbin a semblé regarder le paysage du Roussillon et les montagnes.
Au premier plan on voit les trois arbres, qui se trouvent dans le titre de l’œuvre et qui semblent être dans les Pyrénées.
Au deuxième plan, on peut reconnaître des vignobles, des toits, un port, la mer et une rivière.
Au troisième et dernier plan, on peut retrouver les Pyrénées.
Sur le tableau beaucoup d’éléments et formes géométriques se retrouvent, en fait l’image a un caractère très anguleux, ce qui est assez typique pour le cubisme.
En plus les éléments semblent disparaître l’un dans l’autre, donc il a l’air abstrait.
Auguste Herbin a utilisé des teints chauds spécialement le vert, le bleu, le marron et le jaune.
Bien que l’œuvre se compose d’éléments et de formes géométriques et superficiels il produit quand même un effet de profondeur.

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Amélie Streubel

André Derain : Paysages de Collioure, 1905, Huiles sur toile

Sur le tableau d’André Derain, on voit un paysage mouvementé. Au premier plan on reconnaît des plantes typiques de la Méditerranée, la plante d’Aloe Vera et d’autres herbes. À l’arrière-plan, on voit der collines, un chemin sur lequel se trouve une femme qui marche et tout au fond on voit la mer.
Le tableau a la taille d’une feuille DIN A4.
Les couleurs que Derain a choisies sont des couleurs fortes comme le rouge et le jaune, des couleurs ensoleillées. Les plantes sont peintes de couleurs vertes et grises, leur couleur réelle.
Même si les feuilles et l’herbe sont peintes d’une seule touche on les reconnaît tout de suite et l’on sait ce que le peintre a voulu peindre. Ce qui m’intéresse dans ce tableau c’est que beaucoup de visiteurs ne le remarquent même pas, je crois que c’est à cause de sa taille, c’est le fait que Derain a peint un tableau très cadré. Il a choisi des plantes comme sujet et a poussé toutes les choses intéressantes comme la mer et le personnage à l’arrière-plan. Cette œuvre typiquement fauviste avec les touches séparées et les aplats colorés dans lesquels on sent le soleil et la chaleur me plaît beaucoup.

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Janika Taschies

Henri Matisse (1869-1954) : La japonaise au bord de l’eau (1905)

L’image montre une jeune femme japonaise qui est assise sur un rocher lisant un livre. Elle est tournée vers la mer. Le peintre a travaillé avec des touches grasses et expressives qui produisent beaucoup de mouvement dans l’eau. La mer est peinte avec des couleurs très fortes mais pas naturelles par exemple du rose, du violet et du vert. Le rocher est en contraste avec la mer parce que lestouches sont plus tranquilles et semblent presque comme un aplat. Les couleurs différentes font l’impression d’avoir des contours sans que Matisse les ait peints. La Japonaise est au centre du tableau et on la voit au deuxième plan. Son corps est simplifié seulement ses vêtements sont peints avec des touches précises. Matisse produit une ambiance vivante et glissante. Nous nous sommes demandé, quel temps il fait et nous croyons que c’est la fin de l’été on même le début de l’automne.

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Greta Weigeldt

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